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Nos trouvailles

Prisonniers politiques en France pendant la guerre d'Algérie : 1954-1962 : la prison, un champ de bataille

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Catégorie : Trouvailles littéraires

Un livre de Rachid Zeggagh préfacé par Mohammed Harbi

prison champ de bataillePrésentation de l'éditeur

De très nombreux livres ont été écrits sur la guerre d’Algérie, mais aucun n’a traité des années terribles qui ont concerné des milliers de prisonniers politiques en France pendant la guerre d’Algérie. L’auteur, plus jeune prisonnier FLN à Fresnes puis à Loos-les-Lille, parle aujourd’hui de ses cinq années d’incarcération douloureuse comme d’une bataille nourrie par l’idéal de l’indépendance de l’Algérie. Comment passe-t-on d’une famille analphabète des montagnes de Kabylie à la lutte anticolonialiste en France?
Comment les batailles pour l’information ont-elles été menées alors que les journaux étaient prohibés ?
De quel philosophe des lumières s’est inspiré l’auteur pour mettre en pratique une expérience démocratique en prison ? Où trouve-t-on la force nécessaire pour survivre à trois longues grèves de la faim pour obtenir le statut politique?
Quelles conditions ont permis de réussir à partir de 1959 l’alphabétisation de centaines de détenus? Quel a été le rôle des collectifs d’avocats et jusqu’où la Mission de France de l’Eglise a-t-elle soutenu les prêtres ouvriers solidaires ?
Sur toutes ces questions et sur bien d’autres encore, l’auteur, délégué élu par ses camarades détenus, livre son témoignage, ses réflexions et sa part de vérité.

Présentation de l'auteur

Au terme de ces combats, l’auteur a participé à la lutte menée par la Zone Autonome d’Alger contre l’O.A.S. et assuma de 1963 à 1965, la fonction de conseiller au bureau politique du FLN auprès de son secrétaire général Hadj Benalla, également président de l’Assemblée Nationale. A trente ans, il commença des études puis il obtint un doctorat d’Université en sociologie à Paris-Sorbonne.

Publisud éditions
ISBN : 978-2-36291-026-5     Prix Public T.T.C. : 29,80 €   364 pages
Disponible sur Decitre ou sur Price Minister.

 

D'Algérie Plus à Algérie 1

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Catégorie : Trouvailles sur la toile

Le journal d'actualité Algérie Plus devient Algérie 1. Nous vous recommandons ce site dédié à l'Algérie qui traite de l'actualité politique, économique et internationale avec acuité et avec l'ambition de ne tomber ni dans la servilité au pouvoir, ni dans l'opposition systématique. De plus le nouveau design du site permet une navigation facilitée et un plus grand confort de lecture.  Algérie 1.com

 

Ces Français restés en Algérie après l'indépendance

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Catégorie : Trouvailles littéraires

Pierre Daum déconstruit, dans son livre-enquête "Ni valise ni cercueil" (Solin, Actes Sud), les discours convenus sur l’exil forcé des pieds-noirs l Assiya Hamza est allée à leur rencontre et raconte ses histoires algériennes dans "Mémoires d'enracinés" (Michalon)

Les chiffres : 200 000 Européens ont décidé de ne choisir «ni valise ni cercueil», mais bien de rester en Algérie, leur pays, après son indépendance. Le journaliste Pierre Daum explose la thèse des nostalgiques de l’Algérie française. Depuis un demi-siècle, les seules voix audibles sont celles des rapatriés de 1962, très présentes dans les médias et au travers d’associations très actives. «Aucune étude approfondie n’avait jusqu’à présent été entreprise sur le sort des Européens et des juifs restés en Algérie après 1962. Le livre de Pierre Daum constitue dès lors une grande première. De façon érudite et passionnante, l’auteur remet en cause plusieurs idées reçues à propos du départ des Européens d’Algérie. D’abord, bien sûr, celle de “l’arrachement” en quelques semaines de l’ensemble des membres de cette communauté», note Benjamin Stora dans sa préface.

Mêlant travail d’archiviste et de journaliste, Pierre Daum est parti à la rencontre des Français restés en Algérie. Certains partirent quelques années après 1962, d’autres des décennies plus tard et quelques centaines y vivent encore. Il en a tiré des portraits saisissants. Dans celui consacré au peintre Denis Martinez, ce passage croustillant : à un «artiste» qui s’étonne qu’il soit Algérien et qu’il ait gardé son nom, celui-ci réplique : «Cher monsieur, sachez que je n’ai pas choisi d’être Algérien, je suis Algérien. Comme tout le monde. Je suis né en Algérie, de parents et d’arrière-grands-parents nés en Algérie. J’appartiens à une réalité historique du pays. Je m’appelle Martinez, je suis Algérien et je vous emmerde.» Tout se résume dans ces lignes.

"Ni valise ni cercueil Pierre Daum", (Solin, Actes Sud)

Assiya Hamza aborde sa rencontre avec les pieds-noirs restés en Algérie à travers sa quête d’identité. «Je suis française d’origine algérienne, et ma double identité, c’est ma richesse. Mais que ferais-je à l’heure du choix, si choix il devait y avoir ? Emettre une préférence reviendrait à renier mon histoire. Et aussi celle de la France. (...) Cette introspection m’a mené sur les traces des pieds-noirs qui ont choisi de rester en Algérie au lendemain de l’indépendance. Un million d’hommes et de femmes se sont arrachés à cette terre l’été 62, très peu ont refusé de partir.

J’ai voulu savoir pourquoi ils avaient, eux, renoncé à l’exil et résisté à l’exode. Qu’aurais-je fait à leur place ?» Beaucoup plus intimiste, son livre questionne, relève les émotions discrètes. Elle rencontre Eliette, une habitante de Kouba, qui «s’adresse à l’Algérie en disant «tu» ou encore le professeur Jean-Paul Grangaud, pédiatre à Beni Messous, qui parle de son amour à son pays avec des mots émouvants de simplicité.

"Mémoires d’enracinés", Assiya Hamza, Michalon.

D'après un article d'El-Watan, paru le 20 mars 2012.

 

La belle histoire du beau Prince tout moche

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Catégorie : Trouvailles poétiques

 

C’est l’histoire d’un roi et d’une reine sans cœur qui arrosaient leurs jardins avec les larmes des pauvres. Un jour La Misère s’invita au château pour leur faire une farce, une farce qui leur pourrit tellement la vie que leur médecin leur conseilla de mourir, c’était la seule solution ! Mais on ne peut pas mourir sans avoir fait d’enfant ils devaient donc en faire un… Ils en firent un tout moche !

L’histoire de ce petit roman est impossible à raconter, c’est du grand n’importe quoi, mais du grand n’importe quoi génial ! J’ai beaucoup ri en le lisant, les situations sont complètement farfelues, le texte fourmille de petites blagues du genre Et l’hiver est passé et le printemps est passé et l’été est passé et l’automne et les 4 saisons sont passées et Vivaldi avec ou un loup qui voit mal à qui on conseille d’aller chez Ahfleloup. Ça m’a rappelé un film qui me faisait mourir de rire quand j’étais pré-ado Elle voit des nains partout ou un peu l’humour des Robins des bois. Ça part dans tous les sens, c’est réjouissant, bienvenu au pays où on mange les enfants pour s’en débarrasser, où les fées ont l’accent pied-noir et où les princesses ressemblent à des Picasso.

L’auteur, Moussa Lebkiri est conteur et humoriste et ce texte est d’ailleurs tiré d’un de ses spectacle. J’espère le voir sur scène depuis que j’ai lu cette histoire.

Source: La Mare aux mots le 26/02/2012

Pour en savoir plus, consulter le site de Moussa Lebkiri

 

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